Le 14 septembre dernier vous aviez pu voir mes roses terminées et je vous présente donc aujourd'hui un nouvel ouvrage.
On m'a susurré à l'oreille que l'une de mes petites-filles, Nolwenn pour ne pas la nommer, a un faible pour le tableau "Starry Night" de Vincent Van Gogh (1889).
Qu'à cela ne tienne ! Après quelques recherches, j'ai trouvé les grilles pour le broder.
Designed by Ankicoleman
L'essai sur une toile de lin 16 fils en 2 fils sur 2 fils n'a pas été concluant, car vraiment trop fin pour les yeux... Il fallait prendre en compte aussi la difficulté due aux nombreuses nuances des différentes couleurs.
Je me suis résolue à broder l'ouvrage sur une toile aïda 8 points/cm de Zweigart, couleur blanc cassé, avec deux fils à l'aiguillée. Les essais faits avec 1 et 2 fils à l'aiguillée m'ont convaincue de choisir cette dernière option.
L'ouvrage mesurera 40 cm x 30 cm : 320 w X 235 h. J'ai surfilé le coupon de 60 cm x 50 cm et dispose donc d'une bonne marge pour un éventuel encadrement.
85 couleurs de fils sont nécessaires :
J'ai donc de quoi faire pour des mois de "Brodons ensemble" !
Et voici ma première avancée :
Au fur et à mesure, je pose des repères tous les dix points. C'est là que j'ai réalisé que pour un cm² il faut faire 100 petites croix, il m'en reste donc environ 75000 à faire. Malgré la difficulté, je suis subjuguée par toutes ces nuances de bleu, de vert, de jaune.
Depuis la rédaction de ce billet, j'ai encore avancé un peu et rajoute donc cette dernière photo :
Je vous retrouverai dans la mesure du possible le 16 novembre 2025.
N'oubliez pas d'admirer les beaux ouvrages des amies brodeuses chez notre amie Louison (https://aupaysdesbiscornus.eklablog.fr)
-=-=-
P.S. Pour les amies brodeuses qui ont envie d'en savoir plus sur ce tableau, j'ai trouvé quelques liens :
Le ciel nocturne de Van Gogh est un champ d'énergie bouillonnante. Sous les étoiles qui explosent, le village est un lieu d'ordre paisible. Reliant la terre au ciel se trouve le cyprès flamboyant, un arbre traditionnellement associé aux cimetières et au deuil. Mais la mort n'était pas un signe avant-coureur pour Van Gogh. « Regarder les étoiles me fait toujours rêver », disait-il. « Pourquoi, me demandais-je, les points brillants du ciel ne seraient-ils pas aussi accessibles que les points noirs sur la carte de France ? Tout comme on prend le train pour aller à Tarascon ou à Rouen, on prend la mort pour atteindre une étoile. »
L'artiste écrivit à son frère Théo : « Ce matin, j'ai vu la campagne depuis ma fenêtre, bien avant le lever du soleil, avec rien d'autre que l'étoile du matin, qui paraissait immense. » Cette étoile du matin, ou Vénus, pourrait être la grande étoile blanche située juste à gauche du centre de La Nuit étoilée. Le hameau, en revanche, est inventé, et le clocher de l'église évoque les Pays-Bas, la terre natale de Van Gogh. Le tableau, comme son pendant diurne, Les Oliviers, puise ses racines dans l'imagination et la mémoire. Délaissant la doctrine impressionniste de la vérité à la nature pour privilégier une émotion agitée et des couleurs intenses, comme dans ce tableau chargé d'émotion, Van Gogh a fait de son œuvre une référence pour toute la peinture expressionniste ultérieure.
Le Musée d'Art Moderne, MoMA Highlights, New York : Le Musée d'Art Moderne, révisé en 2004, publié à l'origine en 1999, p. 35
Pour en savoir plus sur La Nuit étoilée, rendez-vous sur :
mo.ma/nuitétoile
Merci infiniment pour votre fidélité, vos visites avec ou sans commentaire, malgré mon peu de présence sur la blogosphère. Cela me touche à chaque fois, merci à vous tous !
Cette fois-ci, avec les priorités que nous connaissons toutes, j'ai tout simplement oublié de faire mon billet... (pardon, Louison, tu nous le rappelles pourtant à chaque fois, j'étais "un peu" dépassée...) raison pour laquelle je publie très vite mon avancée.
Le 17 août 2025, mes roses se présentaient ainsi :
Et voici l'ouvrage terminé :
Je vous retrouverai dans la mesure du possible le 19 octobre 2025.
Une grille m'attend pour un nouvel ouvrage, j'ai déjà une grande partie des fils nécessaires, mais j'attends depuis presque 3 semaines le colis qui avait pourtant été expédié très rapidement par "De Mère En Fille". Ah, ces transporteurs...
N'oubliez pas d'admirer les beaux ouvrages des amies brodeuses chez notre amie Louison (https://aupaysdesbiscornus.eklablog.fr)
Merci infiniment pour votre fidélité, vos visites avec ou sans commentaire, malgré mon peu de présence sur la blogosphère. Cela me touche à chaque fois, merci à vous tous !
Le 20 juillet 2025, mes ROSES se présentaient ainsi :
Depuis, je n'ai pas trop avancé :
L'excuse pour cette toute petite avancée est que j'étais prise par un ouvrage pour Nolwenn. Elle m'avait donné une tote bag en toile noire et souhaitait que je lui brode "quelque chose" dessus. Pas évident sur un sac terminé... Après les suggestions - "en douce" - de motifs de la maman, quelques conseils d'une amie couturière, des acrobaties couturesques et recherches de tutos, voilà les épisodes de transformation du sac :
Nolwenn était très heureuse en découvrant le sac !
---
Je vous retrouverai dans la mesure du possible le 14 septembre 2025.
N'oubliez pas d'admirer les beaux ouvrages des amies brodeuses chez notre amie Louison (https://aupaysdesbiscornus.eklablog.fr)
Merci infiniment pour votre fidélité, vos visites avec ou sans commentaire, malgré mon peu de présence sur la blogosphère. Cela me touche à chaque fois, merci à vous tous !
Voici la SUITE du billet de "Mes dernières lectures (91) paru ce même jour.
Franziska von Dranitz ne peut le croire : elle est enfin de retour chez elle, au Manoir de Dranitz. Dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale, elle et sa mère ont été chassées du domaine familial situé à l'Est de l'Allemagne. Si le retour a été impossible pendant de longues années, la nostalgie des terres de sa famille ne l'a jamais quittée. Elle n'a jamais oublié les temps heureux d'avant-guerre, ses rêves et ses aspirations. Elle n'a jamais oublié non plus son grand amour, Walter Iversen. A l'époque tout semblait possible, mais malheureusement les deux amants furent séparés par la guerre, réduisant leurs rêves à néant. Mais toutes ces années, Franziska n'a jamais perdu l'espoir de retrouver Walter...
Après plus de quarante ans de séparation, Franziska et Walter célèbrent enfin leur mariage, entourés de leurs enfants et petits-enfants respectifs. Les retrouvailles se révèlent néanmoins plus douloureuses que leur longue séparation, et les souvenirs effroyables de la guerre creusent un fossé entre les deux époux.
La paix semble revenue au manoir de Dranitz. Franziska est heureuse d’avoir récupéré sa maison et sa petite-fille, Jenny, travaille dur pour développer le domaine et lui assurer un avenir prospère. Mais au cours de travaux dans le sous-sol, un objet oublié est déterré et le passé tumultueux de Franziska ressurgit...
Un très gros coup de coeur pour ce livre ; il me donne envie de lire d'autres ouvrages de cet auteur.
Claire a jeté l’ancre sur l’archipel de Bréhat il y a plusieurs années. Entre les pins et les agapanthes, elle a exercé son métier de psy auprès des femmes, découvert chaque recoin de l’île avec son grand amour, vu grandir son fils. À la disparition de son mari, elle a cessé de recevoir des patientes… lorsqu’une jeune femme surgit et vient troubler son existence. Quelque chose la lie à Aëlwen. Se pourrait-il qu’elle incarne l’invitation d’une aube nouvelle ? Sous les cieux bretons, la vie de Claire se tisse entre des visites à son amie mi-libraire mi-boulangère et les séjours de son fils devenu marin. Mais une tombe abandonnée et un grand secret de famille pourraient changer leur destin… Éric de Kermel explore les petits et grands mouvements de l'existence dans ce roman virtuose. De la douce marche du quotidien aux grands orages de nos histoires familiales, il compose un hymne magnifique aux femmes de tous temps.
Bienvenue à la Clinique psychologique de Nakagyô. Un centre de soin situé au cœur de Kyôto, au fond d’une ruelle sombre, particulièrement difficile à trouver. Assisté de son infirmière Chitose, le docteur Nike y reçoit des patients de tous horizons. Sa particularité ? Ne pas prescrire des médicaments, mais… des chats ! Un jeune homme harcelé au travail, un père de famille désemparé, une mère qui a du mal à communiquer avec sa fille, une créatrice de mode trop perfectionniste… vont en faire l’expérience. Que leur révèleront ces êtres capricieux et délicats, exigeants mais si charmants ? Et si les traitements prenaient des formes totalement inattendues ? Drôle, subtil et très réconfortant, ce roman best-seller au Japon vous délivrera peut-être les clés du bonheur !
Entre 1898 et 1950, de Normandie en Lorraine, un destin de passions : Ange, brillante jeune fille issue d’une famille campagnarde modeste, devient une des grandes figures de la facture d’orgues, un univers très masculin. Le jour inoubliable de l’enfance d’Ange, qui décide de son destin, est celui où elle entend l’orgue de Saint-Georges de Boscherville, une abbaye de sa Normandie natale. Aussitôt, sa conviction est faite : elle consacrera sa vie à cet instrument dont la voix la fascine. Pas facile quand on est une femme d’origine rurale et modeste en 1900 ! Ange devra quitter son pays et les siens, gagner la Lorraine où, dans les Vosges, elle se formera au métier de facteur d’orgues, embrassé avec une ferveur qui ne la quittera jamais. Et puis il y a les rencontres, les amitiés, la découverte de sa patrie d’adoption et de coeur, les succès et les déceptions, le deuil, le temps qui passe et… l’amour ! Une plongée généreuse dans le monde de l’orgue, une ode aux mille beautés de deux régions envoûtantes et le parcours audacieux d’une femme digne et déterminée.
Chalumeau en main, John LaLiberté, ironworker comme ses ancêtres, sectionne l'acier à la recherche de survivants. Les Twin Towers viennent de s'effondrer sous ses yeux. Depuis le premier rivet porté au rouge dans un brasero, jusqu'à la construction de la Liberty Tower, six générations de Mohawks ont bâti l'Amérique. La légende dit qu'ils n'ont pas le vertige. Peut-on apprendre à maîtriser sa peur ? «Aussi loin que je me souvienne j'ai voulu marcher sur les pas de mes ancêtres, sur des poutres de trente centimètres.»
Le docteur Jean est généraliste dans une ville du Sud-Ouest. En ces temps de déserts médicaux, sa salle d'attente est toujours pleine et il soigne tout le monde. Ce médecin de famille n'a pourtant rien de classique. Sous le masque de ce personnage romanesque, se révèlent le quotidien du docteur Baptiste Beaulieu et son regard engagé, plein d'empathie mais aussi de colère, sur la médecine actuelle et, surtout, sur les violences faites aux femmes. Il les aime, ses patientes, le docteur Jean. Lui, son problème, c'est qu'il n'arrive plus du tout à pleurer. Jamais. Où se cachent-elles, ses larmes ?
"La vie du douaz" offre une perspective originale sur le douaz, ce mets modeste qui accompagne le pain sec, à travers un roman où des personnages singuliers exercent d’anciens métiers. Au cœur de cet ouvrage, ancré dans le Maroc populaire, notamment à Safi, se trouvent les traditions, la pauvreté, les pratiques religieuses, ainsi que les richesses et les travers de la société. Du rétameur au restaurateur de rue, chaque protagoniste incarne un aspect essentiel de la vie quotidienne et des valeurs orientales.
La vie de Zahra se déroule dans les majestueuses montagnes arides de l’Atlas au Maroc, un cadre où se mêlent bonheurs et malheurs surtout après un séisme dévastateur. Malgré les défis, Zahra incarne la résilience et la force de ces terres. Son récit captivant nous plonge dans une histoire poignante, ponctuée de succès et d’épreuves, mettant en lumière une héroïne extraordinaire.
Le temps d’un été, Arthur et son petit-fils rattrapent les années perdues. Plus de 60 ans les séparent, mais ensemble ils vont partager les souvenirs de l’un et les rêves de l’autre. Le bonheur serait total si Arthur ne portait pas un lourd secret.
Un roman sur le temps qui passe, la transmission et les plaisirs simples qui font le sel de la vie.
Entre émotion, rire et nostalgie, Aurélie Valognes nous touche en plein cœur.
La vie est mal faite : à 35 ans, on n'a le temps de rien, à 65, on a du temps, mais encore faut-il savoir quoi en faire… Bernard et Brigitte, couple solide depuis 37 ans, en savent quelque chose. Depuis qu’elle a cessé de travailler, Brigitte profite de sa liberté retrouvée et de ses petits-enfants. Pour elle, ce n’est que du bonheur. Jusqu’au drame : la retraite de son mari ! Car, pour Bernard, troquer ses costumes contre des pantoufles, hors de question. Cet hyperactif bougon ne voit vraiment pas de quoi se réjouir. Prêt à tout pour trouver un nouveau sens à sa vie, il en fait voir de toutes les couleurs à son entourage ! Ajoutez à cela des enfants au bord de la crise de nerfs, des petits-enfants infatigables, et surtout des voisins insupportables qui leur polluent le quotidien… Et si la retraite n’était pas un long fleuve tranquille ? Un cocktail explosif pour une comédie irrésistible et inspirante.
Le fils, c’est André. La mère, c’est Gabrielle. Le père est inconnu. André est élevé par Hélène, la sœur de Gabrielle, et son mari. Il grandit au milieu de ses cousines. Chaque été, il retrouve Gabrielle qui vient passer ses vacances en famille. Entre Figeac, dans le Lot, Chanterelle ou Aurillac, dans le Cantal, et Paris, Histoire du fils sonde le cœur d’une famille, ses bonheurs ordinaires et ses vertiges les plus profonds, ceux qui creusent des galeries dans les vies, sous les silences.
Quand une mendiante muette de Maracaibo, au Venezuela, recueille un nouveau-né sur les marches d’une église, elle ne se doute pas du destin hors du commun qui attend l’orphelin. Élevé dans la misère, Antonio sera tour à tour vendeur de cigarettes, porteur sur les quais, domestique dans une maison close avant de devenir, grâce à son énergie bouillonnante, un des plus illustres chirurgiens de son pays. Une compagne d’exception l’inspirera. Ana Maria se distinguera comme la première femme médecin de la région. Ils donneront naissance à une fille qu’ils baptiseront du nom de leur propre nation : Venezuela. Liée par son prénom autant que par ses origines à l’Amérique du Sud, elle n’a d’yeux que pour Paris. Mais on ne quitte jamais vraiment les siens. C’est dans le carnet de Cristobal, dernier maillon de la descendance, que les mille histoires de cette étonnante lignée pourront, enfin, s’ancrer. Dans cette saga vibrante aux personnages inoubliables, Miguel Bonnefoy campe dans un style flamboyant le tableau, inspiré de ses ancêtres, d’une extraordinaire famille dont la destinée s’entrelace à celle du Venezuela.
1348: La peste noire déferle sur l'Europe. 1367: Deux jeunes frères dominicains se rendent à Toulouse, en quête du précieux parchemin que leur prieur attend pour y graver son ultime confession. Ils ignorent tout du piège qui va se refermer sur eux. Car ces aveux recèlent le secret de maître Eckhart, une des plus fantastiques figures du Moyen Âge, prêcheur aux sermons foudroyants, adulé puis maudit après son procès en hérésie et sa mystérieuse disparition. Ils pourraient mettre en péril les fondements de l'Église. Guerre, Inquisition, persécution et trahison, mais aussi amour et grâce; des bancs de la Sorbonne aux plaines reculées d'Asie centrale, Antoine Sénanque mêle les destins de personnages historiques et de fiction, marie petite et grande histoire, et signe un texte exceptionnel, tout à la fois roman d'aventures, fresque historique, étude théologique et policier médiéval. Une épopée spirituelle et dramatique dans laquelle les paroles d'Eckhart et les choix des héros redonnent le goût de la fraternité. Un coup de maître.
"La poterie est indispensable à ma vie. En pétrissant de l’argile avec mes mains puis en façonnant une pièce, j’oublie tout ce qui se passe autour de moi. Et, chaque fois, au moment de sortir mes œuvres du kama, je suis à la fois très excitée et soulagée, comme après un accouchement. Émue par les motifs créés au hasard par le feu de bois, je mûris déjà un nouveau projet." Dans une petite ville près de la mer du Japon, d’où l’on peut voir les sommets enneigés du mont Daisen, vit Anzu, une femme dans la trentaine qui élève seule son garçon. Divorcée, indépendante, pourvue d’une douceur forte, elle semble imperméable à la cruauté du monde. Le secret d’Anzu, c’est son don pour la poterie. Elle fait des vases prêts à accueillir ces arrangements floraux appelés ikebana, qui signifie « art de vivre des fleurs ». Ce don semble la définir et l’armer contre les épreuves, les peines, les trahisons. Quelle joie d’assister à la naissance d’une nouvelle pentalogie d’Aki Shimazaki ! Un nouveau cycle s’entame, avec ses personnages intrigants, ses retournements, ses contrastes entre la surface lisse et ce qui se trame dans les entrailles du récit. Suzuran – du nom de cette fleur délicate au parfum entêtant et suave qu’est le muguet – nous invite à connaître Anzu, son fils, ses parents vieillissants, son ex-mari, son futur beau-frère de qui elle rêve secrètement, et surtout sa sœur, séduisante, ambitieuse, ayant tout pour être heureuse, sauf le bonheur d’être habitée par une passion. Les romans de cette écrivaine font penser à ces boules à neige abritant de petits paysages en apparence naïfs. Mais attention : il suffit de les secouer pour que se lève la tempête.
« Certains choix nous définissent à tout jamais, celui-ci en fait partie. À partir d’aujourd’hui, je peux bien écrire la neuvième symphonie, sauver le monde d’une troisième guerre mondiale ou inventer le vaccin contre le sida, on ne retiendra de moi que cet acte innommable. Puisses-tu un jour me pardonner.» De Paris aux volcans ensoleillés d’Indonésie en passant par un petit campus américain à la frontière canadienne, de vibrants portraits de femmes aux destins entrecroisés se dessinent. Quel secret les unit ? Quelle est leur véritable histoire ? De sa plume délicate et addictive, Marie Vareille nous offre une merveilleuse histoire d’amour, d’espoir et de résilience.
Domestique au service des bourgeois, elle est travailleuse, courageuse, dévouée. Mais ce week-end-là, elle redoute de se rendre chez les Daniel. Exceptionnellement, Madame a accepté d’aller prendre l’air à la campagne. Alors la petite bonne devra rester seule avec Monsieur, un ancien pianiste accablé d’amertume, gueule cassée de la bataille de la Somme. Il faudra cohabiter, le laver, le nourrir. Mais Monsieur a un autre projet en tête. Un plan irrévocable, sidérant. Et si elle acceptait ? Et si elle le défiait ? Et s’ils se surprenaient ?
Henriette n’a pas que son prénom de décalé. Elle a aussi un look original bien à elle et un vrai talent créatif d’architecte d’intérieur, qu’elle ne mesure pas vraiment, trop souvent occupée à douter d’elle-même. Car derrière la façade de jeune professionnelle douée, elle cache une peur inavouable… Anxieuse de nature, hypersensible et facilement fatigable, Henriette a ce qu’elle appelle un syndrome de trophobie : quand on la force à dépasser ses limites et que, rapidement, cela fait « trop » pour elle, elle est submergée d’angoisses mais n’ose pas l’avouer. De stratégie d’évitement en stratégie de camouflage, elle donne le change la plupart du temps, en se sur-adaptant aux autres – mais à quel prix ! Jusqu’au jour où un projet l’oblige à collaborer avec un bureau d’étude dirigé par un architecte paysagiste ambitieux, charismatique… et à première vue imbuvable. Alors qu’elle intègre cette nouvelle équipe, le petit théâtre des ombres se met en place. Au travail, en famille, ou en couple, beaucoup préfèrent avancer masqués pour ne pas révéler un intime perclus de fragilités. Pourtant, tout le monde a peur… mais pas au même endroit ! Henriette découvrira-t-elle, comme quelques heureux avant elle, que lorsque la lumière jaillit derrière les failles, c’est toujours pour éclairer ce que chacun porte en lui de plus beau ?
Le 15 juin je vous avais présenté mon nouvel ouvrage "ROSES" avec une première avancée ; il se présentait ainsi :
Certains jours, mes doigts se sont agités et voici l'ouvrage à ce jour :
Je vous retrouverai dans la mesure du possible le 17 août 2025.
N'oubliez pas d'admirer les beaux ouvrages des amies brodeuses chez notre amie Louison (https://aupaysdesbiscornus.eklablog.fr)
Merci infiniment pour votre fidélité, vos visites avec ou sans commentaire, malgré mon peu de présence sur la blogosphère. Cela me touche à chaque fois, merci à vous tous !
Un besoin intense d'activer mes doigts avec une aiguille a fait que j'ai pu terminer cet ouvrage :
[ Un message à Mutti : tu vas pouvoir vérifier et compter les perles... :-)) ]
~~~~~~
Le choix du nouvel ouvrage s'est rapidement imposé à moi : une grille découverte il y a longtemps sur Pinterest.
Il s'agit de : "1380 Roses - Company : Pako - Copyright : Lana_7" - Taille : 90 x 130 points
L'auteur de la grille préconisait une toile aïda 7.
J'ai choisi un lin un peu "rustique" de ma réserve, 12 fils au centimètre ; je brode en 2 fils/2 fils. Pas évident du fait de l'irrégularité naturelle de cette toile, mais cela reste un vrai plaisir.
Et voici ma première avancée :
~~~~~~
Je vous retrouverai dans la mesure du possible lors de notre prochain rendez-vous, le 20 juillet 2025.
N'oubliez pas d'admirer les beaux ouvrages des amies brodeuses chez notre amie Louison (https://aupaysdesbiscornus.eklablog.fr)
Merci infiniment pour votre fidélité, vos visites avec ou sans commentaire, malgré mon peu de présence sur la blogosphère. Cela me touche à chaque fois, merci à vous tous !
Lors de ma dernière publication en date du 16 février 2025, je vous avais présenté l'ouvrage "Sur la banquise" terminé.
Aujourd'hui, je vous propose de me suivre avec un nouvel ouvrage ; cette grille dénichée dans mes petits trésors est de Permin of Copenhagen - Antique collection (je n'ai pas d'autres références).
Sa taille : 60 x 100 points - 17 couleurs de fils.
Ce nouvel ouvrage m'a donné du fil à retordre. J'ai, dans un premier temps, brodé sur du lin 12 fils noir. Malheureusement, je n'y arrivais pas malgré la table lumineuse. En effet, la toile que j'avais dans ma réserve ne devait pas être de très bonne qualité ; elle était irrégulière au point de fausser le résultat et je ne m'en sortais plus. Cela ne m'était encore jamais arrivé.
J'ai donc pris tout simplement une toile aïda 8 de couleur crème et je verrai, une fois terminé, si je brode en noir autour du sujet ou non. J'utilise deux brins de fils.
Du coup, mon avancée n'est pas énorme.
Je vous retrouverai dans la mesure du possible lors de notre prochain rendez-vous, le 13 avril 2025.
N'oubliez pas d'admirer les beaux ouvrages des amies brodeuses chez notre amie Louison (https://aupaysdesbiscornus.eklablog.fr/).
Merci infiniment pour votre fidélité, vos visites avec ou sans commentaire, malgré mon peu de présence sur la blogosphère.